A quelques jours des fêtes de fin d’année, certain(e)s vont peut-être opter pour un cadeau de luxe. Un présent qui ne sera pas forcément en désaccord avec la notion de développement durable contrairement à ce que l’on peut penser. Le grand groupe Pinault-Printemps-Redoute (PPR), qui envisage de lancer une nouvelle griffe de luxe, est l’un des champions de l’industrie française sur la scène internationale. Son PDG, François-Henri Pinault est avec nous pour faire un tour d’horizon sur les différentes politiques sociales et environnementales menées par son entreprise. Nous parlerons aussi de la fondation PPR dont il est le président et qui accorde un soin particulier à aider les femmes.
Interview avec l’homme d’affaires François-Henri Pinault. A lire dans NEOPLANETE N°30
L’engagement de PPR dans le développement durable a marqué l’entrée du groupe dans une nouvelle ère des pratiques éthiques. Mais est-ce que le luxe et les valeurs du développement durable sont réellement compatibles ? Écoutez la réponse de François-Henri Pinault pour qui le terme même du développement durable est à bannir, du moins dans le cadre de son groupe. A qui revient alors la responsabilité d’une pratique respectueuse de l’environnement ? Au consommateur qui achète ou à l’industriel qui propose les produits finis ? Explications et lumière sur la créatrice Stella McCartney, connue pour sa politique anti-fourrure et anti-cuir. (05’35)
La fourrure est souvent synonyme de luxe. Peut-on envisager un vêtement somptueux sans fourrure ? A écouter page 2.