C’est aujourd’hui la Journée mondiale de la vie sauvage, en phase avec l’un des principaux objectifs de la Convention du patrimoine mondial : protéger les sites qui abritent des espèces menacées de la faune et de la flore. L’occasion de faire un point sur les espèces sauvages
ailerons de requins
Bulletin 2013 pour les requins : des progrès, mais peut mieux faire

Les requins du monde entier peuvent sourire à pleines dents : l’année 2013 a été marquée par des avancées considérables dansLire la suite ➔
Que se cache-t-il derrière « Ces animaux qu’on assassine » ?

Tous les pays sont responsables du trafic d’animaux, considéré aujourd’hui par les instances internationales comme la principale activité criminelle devant celles des drogues, des armes et des humains. Os de tigre, bile d’ours, ailerons de requins, mais aussi les viandes de gorilles, de chimpanzés, de pangolins, de baleines, de dauphins… Derrière « Ces animaux qu’on assassine », c’est la planète tout entière qui est mise à mal. Heureusement que des centaines d’ONG tentent d’enrayer ce fléau malgré le danger. Interview de Louis Blériot lors du défilé « Paris sans Fourrure » de Néoplanète . Ancien directeur de France 2, il a fondé « Planète sacrée » dont l’objectif est de promouvoir dans le monde toutes les actions et les innovations en faveur du développement durable. Il est aujourd’hui écrivain, scénariste. Il livre aujourd’hui une enquête édifiante sur « Ces animaux qu’on assassine – Trafics, mafias, massacres ».