Grenoble se rêve en nouveau laboratoire urbain écologique. Révision du Plan local d’urbanisme (PLU), limitation de la pollution, investissements pour améliorer la sobriété énergétique, diminution des charges, création d’emplois… La métropole, qui accueille la 5ème édition de la Biennale de l’habitat durable du 9 au 11 avril 2015, se veut être une ville durable exemplaire. Rencontre avec Vincent Fristot, adjoint au maire de Grenoble en charge de l’Urbanisme, du Logement et de la Transition énergétique, « premier grenoblois » à avoir installé un panneau solaire sur le toit de son immeuble en 1997 !

Agir au niveau local sur le plan énergétique pour créer en autres des emplois et limiter la pollution : telle est la volonté de la ville de Grenoble qui souhaite placer l’habitant au cœur des décisions et des projets. Pas d’urbanisme à tout prix et de grandes tours, il faut revenir à des projets à taille humaine, des logements intégrés dans l’environnement où ensoleillement des îlots est prévu dès l’origine par exemple…
Co-fondateur de l’association négaWatt, qui promeut la « sobriété énergétique, l’efficacité énergétique et le recours aux énergies renouvelables », Vincent Fristot explique comment la municipalité compte éviter les passoires énergétiques. Copropriétaires, sachez que des subventions sont prévues pour accompagner vos travaux, écoutez…
La 5ème édition de la Biennale de l’habitat durable est placée sous le signes des « usages » de la ville durable : chauffage, isolation… comment transmettre les informations pour mieux consommer ?

