Au menu de la revue de presse des animaux de Yolaine de la Bigne : l’ouverture du premier restaurant labellisé « bien-être animal » aux États-Unis, une base de coopération internationale pour protéger des pandas en Chine et un chat déterminé plus que jamais à (sur)vivre ! A écouter ci-dessous (2’42)
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Références musicales
– « Pandi panda » – Chantal Goya
– « Les aristochats » – La magie de Disney
Version écrite de la revue de presse
Bonne nouvelle : le premier restaurant labellisé « bien-être animal » a ouvert ses portes dans l’Etat de New-York. Le Grazin’, c’est son nom, propose uniquement des produits, viande, lait, œufs, en provenance de fermes familiales de la région pour éviter l’excès de transports, et certifiant un élevage où les animaux vivent en plein air et dans des conditions humainement acceptables, rapporte le Huffington Post. Formidable innovation que l’on adorerait voir arriver en France !
En attendant, les amis des animaux s’intéressent toujours à ce qu’il se passe en Chine, pays peu sensible à cette cause. D’où la satisfaction de lire sur le site chine-informations.com que le pays a établit une base de coopération internationale pour protéger des pandas. La province du Sichuan (sud-est de la Chine), berceau des fameux pandas géants, où résident actuellement 98 pandas élevés sur une zone de 106 hectares, a signé un accord pour une coopération scientifique et technologique entre les pays à travers le monde, afin de sauver cette espèce en voie de disparition. Une innovation politique et scientifique qui pourrait faire des petits pour sauver d’autres races animales fragilisées.
Terminons avec l’histoire incroyable de ce petit chat qui n’a pas voulu mourir. Il était une fois, nous raconte Zigonet.com, un chat abandonné dans une ville de l’Utah, aux Etats-Unis. Il est récupéré par la fourrière de West Valley City et après 30 jours sans avoir été adopté, il est destiné, comme le veut la règle, à être euthanasié. On le met dans une chambre à gaz. Et ô stupeur, on le retrouve au milieu des cadavres… vivant ! L’employé referme la porte à nouveau. Quelques minutes plus tard il ré-ouvre, re-belote ! Le chat respire encore. Il le met alors dans un sac en plastique puis dans un congélateur pour le faire mourir une fois pour toutes. Un peu plus tard, il entend des miaulements. Il se dit qu’il est fou, ouvre la porte du congélateur et découvre dans le sac plastique le petit chat terrorisé qui tente de s’échapper. Sidérés, les employés de la fourrière ont décidé de sauver celui que l’on a nommé Andréa et l’on envoyé à l’association Community Animal Welfare Society (CAWS) où il se refait une santé. C’est pas beau chat ?