Messieurs, faites comme Vincent Cassel, mobilisez-vous pour le droit des femmes ! A l’occasion de la Journée internationale des femmes, le 8 mars prochain, l’ONG humanitaire CARE Franc vous invite à prendre part à la campagne « Donne du pouvoir aux femmes, si t’es un homme » dont est aussi ambassadrice l’actrice Léa Seydoux.
On a beau être en 2015, la gent féminine doit toujours faire face à certaines discriminations. Il est donc important que les hommes prennent eux aussi part à l’évolution des stéréotypes de genre pour changer les attitudes et les pratiques sociales lorsque les droits des femmes sont bafoués.
Quelques chiffres
« Aujourd’hui encore, être une femme limite l’accès aux droits et aux opportunités. Nous devons nous mobiliser contre ces discriminations, partout dans le monde. L’égalité des sexes est l’affaire de tous. L’ensemble de la société à y gagner », déclare l’actrice Léa Seydoux, ambassadrice de la campagne.
« Les hommes doivent agir comme des partenaires égaux des femmes. Nous sommes trop facilement influencés par certains stéréotypes discriminatoires à l’égard des femmes. Il est urgent de changer ces attitudes. Aujourd’hui, chacun à son niveau peut devenir acteur de ce changement », ajoute l’acteur Vincent Cassel, également ambassadeur de la campagne.
« A ce jour, aucun pays n’a mis en œuvre tous ses engagements pour l’égalité des sexes. C’est pourtant un pilier de la lutte contre la pauvreté. 2015 sera marquée par des échéances clefs à l’ONU pour les droits des femmes : la conférence Beijing+20 et le renouvellement des objectifs mondiaux de développement qui définiront l’action des gouvernements durant les années à venir », conclut Philippe Lévêque, directeur de l’ONG CARE France.
Alors n’hésitez pas à vous mobiliser à travers la pétition en ligne et la campagne sur les réseaux sociaux marquée du hashtag #SiTesUnHomme en vue des échéances clés de l’ONU en 2015. Cette pétition sera remise aux Nations unies en septembre prochain à l’occasion des conférences décisives qui se tiendront à New York.